Les 6 et 9 août 1945, l’armée états-unienne larguait sur les villes japonaises d’Hiroshima et Nagasaki deux bombes atomiques de nature différente. Les USA commettaient ainsi ce que l’ONU qualifie depuis 1961 de "crime contre l’humanité". Un crime d’autant plus ignoble que les historiens sont désormais d’accord pour reconnaître que ces bombardements ne se justifiaient pas militairement car le Japon, exsangue et isolé, était prêt à capituler. 70 ans plus tard, neuf pays possèdent encore des armes (...)